Honneth : Ce que social veut dire. I : Le déchirement du social

Verlag:
Sammlung/Reihe:
ISBN: 9782070142965
Kurzbeschreibung: 
Axel Honneth gehört der dritten Generation der Frankfurter Schule an. Seine Schriften, die sich vor allem mit den Themen Freiheit, Demokratie und soziale Ungerechtigkeit befassen, finden nun auch in Frankreich durch die Übersetzungen von Frédéric Joly und Pierre Ruch zunehmende Aufmerksamkeit.
Erschienen: 
08.11.2013
Seiten: 
352
Gewicht: 389 g
Abmessungen: 20.5 cm × 14 cm × 2.5 cm
Preis inkl. deutscher Mwst.:
22,82€
Axel Honneth gehört der dritten Generation der Frankfurter Schule an. Seine Schriften, die sich vor allem mit den Themen Freiheit, Demokratie und soziale Ungerechtigkeit befassen, finden nun auch in Frankreich durch die Übersetzungen von Frédéric Joly und Pierre Ruch zunehmende Aufmerksamkeit.

Ce que social veut dire est un ouvrage en deux tomes, destiné au seul lecteur français. Il entend permettre à ce dernier de comprendre, à travers quelque vingt-cinq textes échelonnés sur vingt ans, l'évolution théorique d'Axel Honneth, représentant de la troisième génération de l'École de Francfort.
Le premier volume (Le déchirement du social) rassemble les contributions dans lesquelles Honneth, à travers la confrontation avec des auteurs classiques (Kant, Fichte, Hegel) ou contemporains et la philosophie sociale (Sartre, Lévi-Strauss, Merleau-Ponty, Castoriadis, Bourdieu, Boltanski et Thévenot), précise les caractères constitutifs de la «lutte» sociale pour la «reconnaissance».

Le second (qui vient de paraître) applique la théorie de la reconnaissance au vaste domaine du diagnostic des injustices et des pathologies sociales (confrontations avec Adorno, Benjamin, Neumann, Mitscherlich, Wellmer, mais aussi la psychanalyse et la théorie de la justice).
Ces deux aspects de l'évolution théorique – éclairer les causes des conflits sociaux et étudier comment ils peuvent être justifiés et jugés sur le plan normatif – sont ici distingués en deux volumes pour un souci de lecture, bien qu'ils se soient toujours chevauchés et mutuellement fécondés, dans un projet global très précis : rapporter toute vie sociale au désir des sujets de valoir aux yeux de leurs semblables comme des personnes à la fois dignes de considération et dotées d'une individualité unique.

Ce qui exige que nous comprenions toujours les régulations centrales de la vie sociale comme des ordres de la reconnaissance, mais aussi comme la manifestation sociale d'un devoir-être moral. Prises ensemble, ces deux idées signifient également que la sociologie et la philosophie pratique ne peuvent s'exercer indépendamment l'une de l'autre.